"Alger abritera le siège de l’institut pour le développement durable en Afrique " Par El Moujahid.com
07-02-2013
"Nouara Algérie", un réseau algérien de bonnes volontés écologistes
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Nouara est un blog totalement dédié aux questions d'environnement, d'écologie en Algérie.
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Ce dernier est un militant écologiste indépendant et conférencier
Des dossiers écologiques qui ne concernent pas seulement l'Algérie, mais aussi le reste du Maghreb, de l'Afrique et bien entendu de la Planète.
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A propos de Karim Tedjani
Tedjani Karim est un militant écologiste algérien, bloggeur indépendant qui active sur le web autant que sur le terrain algérien depuis 2009.
C'est un amoureux fou de l'Algérie, de ses paysages, de sa biodiversité, autant que de sa grande variété de manières d'être Algériens et Algériennes.
Ecologiste algérien, il place l'écologie algérienne dans sa réflexion, son discours ainsi que ses actions, comme un véritable projet de société et de modernité.
Karim Tedjani est le créateur du concept de "DAROLOGIA" une approche à la fois locale et universelle de l'écologie algérienne.
Auteur, photographe, conférencier, animateur d'ateliers, il publie de nombreux articles et photos inspirés par tous ses voyages en Algérie à travers plus d'une quarantaine de wilayas.
Il aura ainsi pu rencontrer et collaborer avec beaucoup de celles et de ceux qui activent pour l'écologie et l'environnement en Algérie, à l'échelle tant locale, nationale, qu'internationale.
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Publié par Revue de Web Nouara
07-02-2013
Le Pr Konrad Osterwalder, sous-secrétaire général des Nations unies et recteur de l’université de cette même instance, dont le siège est situé à Tokyo, et le président du CNES, M. Mohammed Seghir Babès, en tant que plénipotentiaire pour l’Algérie, ont signé, hier, à la résidence El-Mithaq, un mémorandum d’entente portant sur un projet d’établissement de l’Institut pour le développement durable en Afrique (IRADDA).
Les négociations préliminaires à cette entreprise ont duré plusieurs années, et l’accord constitue «un socle fondateur du futur projet» et «une plate-forme de référence» pour le lancement de l’institut, partie intégrante de l’Université des Nations unies (UNU), a déclaré le président du CNES lors de la conférence de presse qui a suivi la cérémonie de signature du document constitutif.
M. Babès est revenu sur la genèse de ce projet pour rappeler que c’est à l’occasion de la conférence africaine sur les Objectifs du millénaire pour le développement en Afrique (OMD) tenue en novembre 2005, que l’idée d’un tel projet a germé. Aussi, la résolution de 1973, portant création de l’Université des Nations unies, a été chapeautée par l’Algérie. L’institut sera localisé, dans un premier temps, à Alger, au niveau d’un campus universitaire, en attendant la réunion, d’ici fin avril, à Tokyo, de l’instance qui devra statuer sur le dispositif d’installation et signer l’accord de siège, pour donner, ainsi, le plein statut à cet institut, précise-t-il. Le sous-secrétaire général des Nations unies et recteur de l’université afférente à l’organisation en question a d’emblée justifié le choix d’Alger par «les capacités du pays à soutenir les frais induits par ce projet», en sus de «sa stabilité politique». Le Pr Konrad, qui parlera de projets similaires pour le Mozambique, le Sénégal et le Ghana, a déclaré que l’institut Osterwalder sera appelé à jouer «un grand rôle en Algérie et dans le contexte mondial», d’autant plus qu’il aura la charge d’aborder les «problèmes liés au développement durable» qui constituent une préoccupation actuelle et celle des générations futures, a-t-il affirmé. Cet institut sera une sorte de forum, un think tank qui réunira des chercheurs, experts et enseignants de tous horizons pour des réflexions sur des thèmes ciblés. Il s’agira de «chercher des solutions nouvelles et donner l’instrument aux générations pour s’assurer d’un développement durable».
Le conférencier indique que l’Université des Nations unies n’est pas structurée suivant les disciplines. C’est pourquoi, «nous avons créé des structures focalisées, beaucoup plus, sur des problèmes que les disciplines», a-t-il affirmé. Il ajoute que l’Université des Nations unies a introduit une nouvelle manière de collaboration entre les pays développés et en développement. «On a privilégié les instituts jumelés» qui permettront aux étudiants d’acquérir, en fin de programme, «une expérience qui leur permette de travailler partout à travers le monde», dit-il. M. Konrad Osterwalder a fait part également de la possibilité de création d’un jumeau pour l’institut d’Alger dans le cadre de partenariat (entre instituts). Interrogé sur l’attentat d’In Amenas, il répond que «les Nations unies font tout pour apporter la paix dans ce pays» et font de sorte «que les différentes parties puissent discuter et résoudre les problèmes du pays».
D.Akila